Ce qui vient de se passer hier restera dans les annales comme une des plus grosses arnaques éductaives de l'histoire de la Tunisie.
Le dégoût, meilleur terme que j'ai trouvé, est largement loin de définir le sentiment de certains étudiants de ce que j'appellerai "le mastère de la honte".
Malgré ce dégoût qui me donne envie de ne plus rien faire, je vais m'efforcer d'écrire, écrire et encore écrire...
Hier soir, la première tranche des étudiants du "mastère de la honte" s'apprétait à soutenir le rapport de stage pour l'obtention du maudit diplôme de ce mastère, la peur au ventre. Et il y avait de quoi : Le jury est composé d'une soit disant "enseignante universitaire" que même les gamins d'une crêche renieront son enseignement et d'un type dont je ne pourrais définir sa position dans la société (il n'est ni enseignant, ni vraiment un professionnel). Un type à la "Arsène Lupin" chapeauté par la direction de ce mastère afin de nous inculquer sa précieuse formation : les abc de l'arnaque, excusez du peu.
La peur se transforma en consternation pour finir en dégoût. Toute cette tranche d'étudiants, dont je faisais partie, fut malmenée de bout en bout durant les présentations pour, enfin, le jury décide de retarder une autre fois notre soutenance, jugeant le travail incomplet à cause de l'absence de certains membres de l'équipe.
Affligeant quand on sait que Mr l'honorable directeur de l'établissement abritant le "mastère de la honte" nous a garanti que chacun sera jugé sur son propre travail, quand on lui a signifié le désistement de certains membres. Pourquoi, alors il s'est contenté de la politique de l'autruche lors de la soutenance à laquelle il a assisté, et n'a pas eu le courage de confirmer ce qu'il nous a dit nous même, devant le jury. Si je l'aurai su, je n'aurai jamais mis les pieds dans cet établissement, hier...
Je vais faire l'impasse sur ce point, pour m'attarder sur mon cas personnel. Le travail que j'avais présenté hier est le fruit d'une expérience de 3 ans dans un domaine que je maîtrise au moins mieux que cet "Arsène Lupin" (et je suis prêt à prouver mes propos). J'avais donc apporté ma contribution personnelle professionnelle pour ce mastère (qui est justement qualifié de professionnel - comble de misère!!), et j'avais commencé ma présentation. En plein milieu de discours, je fus interrompu par "Arsène Lupin" (disons que c'est son droit de la faire, quoique la logique est que je termine mon discours pendant que ce cher jury note ses remarques et questions). La question qu'il m'avait posé appartient à la catégorie "ridicule poids lourd". Pire encore, ne me laissant pas le temps de répondre Arsène, mme la pseudo enseignante enchaina par une autre question qui a failli me mettre au tapis. Cette question était tellement "hallucinante" que même mon cher Arsène ne pouvait la laisser passer sous silence, et il s'est chargé lui même de la répondre. Et c'en était pas fini, puisque ceci se transforma en une discussion "agressive" entre les deux membres du jury, devant le regard médusé de mon encadreur et toute l'assistance de la salle. Et le ridicule (heureusement qu'il ne tue pas) continua à régner encore puisque malgré mes tentatives de reprendre la parole, le jury continua de faire étalage de toute son absurdité pour, enfin, me signifier que je peux disposer puisqu'il en ont fini avec moi. Alors que moi, je n'ai pas encore fini ma présentation!! Incroyable, vraiment incroyable...
Je ne vais plus rallonger encore, d'ailleurs, le dégoût, encore lui, m'envahi encore...
Ainsi tomba le rideau sur le "mastère de la honte". Il se relevera dans deux mois pour certains d'entre nous qui auront encore l'envie de revenir contriburer à cette comédie humaine de mauvais goût.
Ceci fût l'acte final, mais les actes précédents n'en furent pas plus glorieux. A suivre prochainement ...
Le dégoût, meilleur terme que j'ai trouvé, est largement loin de définir le sentiment de certains étudiants de ce que j'appellerai "le mastère de la honte".
Malgré ce dégoût qui me donne envie de ne plus rien faire, je vais m'efforcer d'écrire, écrire et encore écrire...
Hier soir, la première tranche des étudiants du "mastère de la honte" s'apprétait à soutenir le rapport de stage pour l'obtention du maudit diplôme de ce mastère, la peur au ventre. Et il y avait de quoi : Le jury est composé d'une soit disant "enseignante universitaire" que même les gamins d'une crêche renieront son enseignement et d'un type dont je ne pourrais définir sa position dans la société (il n'est ni enseignant, ni vraiment un professionnel). Un type à la "Arsène Lupin" chapeauté par la direction de ce mastère afin de nous inculquer sa précieuse formation : les abc de l'arnaque, excusez du peu.
La peur se transforma en consternation pour finir en dégoût. Toute cette tranche d'étudiants, dont je faisais partie, fut malmenée de bout en bout durant les présentations pour, enfin, le jury décide de retarder une autre fois notre soutenance, jugeant le travail incomplet à cause de l'absence de certains membres de l'équipe.
Affligeant quand on sait que Mr l'honorable directeur de l'établissement abritant le "mastère de la honte" nous a garanti que chacun sera jugé sur son propre travail, quand on lui a signifié le désistement de certains membres. Pourquoi, alors il s'est contenté de la politique de l'autruche lors de la soutenance à laquelle il a assisté, et n'a pas eu le courage de confirmer ce qu'il nous a dit nous même, devant le jury. Si je l'aurai su, je n'aurai jamais mis les pieds dans cet établissement, hier...
Je vais faire l'impasse sur ce point, pour m'attarder sur mon cas personnel. Le travail que j'avais présenté hier est le fruit d'une expérience de 3 ans dans un domaine que je maîtrise au moins mieux que cet "Arsène Lupin" (et je suis prêt à prouver mes propos). J'avais donc apporté ma contribution personnelle professionnelle pour ce mastère (qui est justement qualifié de professionnel - comble de misère!!), et j'avais commencé ma présentation. En plein milieu de discours, je fus interrompu par "Arsène Lupin" (disons que c'est son droit de la faire, quoique la logique est que je termine mon discours pendant que ce cher jury note ses remarques et questions). La question qu'il m'avait posé appartient à la catégorie "ridicule poids lourd". Pire encore, ne me laissant pas le temps de répondre Arsène, mme la pseudo enseignante enchaina par une autre question qui a failli me mettre au tapis. Cette question était tellement "hallucinante" que même mon cher Arsène ne pouvait la laisser passer sous silence, et il s'est chargé lui même de la répondre. Et c'en était pas fini, puisque ceci se transforma en une discussion "agressive" entre les deux membres du jury, devant le regard médusé de mon encadreur et toute l'assistance de la salle. Et le ridicule (heureusement qu'il ne tue pas) continua à régner encore puisque malgré mes tentatives de reprendre la parole, le jury continua de faire étalage de toute son absurdité pour, enfin, me signifier que je peux disposer puisqu'il en ont fini avec moi. Alors que moi, je n'ai pas encore fini ma présentation!! Incroyable, vraiment incroyable...
Je ne vais plus rallonger encore, d'ailleurs, le dégoût, encore lui, m'envahi encore...
Ainsi tomba le rideau sur le "mastère de la honte". Il se relevera dans deux mois pour certains d'entre nous qui auront encore l'envie de revenir contriburer à cette comédie humaine de mauvais goût.
Ceci fût l'acte final, mais les actes précédents n'en furent pas plus glorieux. A suivre prochainement ...
4 commentaires:
c koi cette histoire !!! est ce que les responsables de ce master sont au courant ? le directeur/doyen de ta fac est au courant ? manifestez votre désaroi ...
et il s'y connait Arsène Lupin en référencement ? dis lui qu'on recrute à tout moment ;)
sois pas aussi con qu'eux et retente ta chance la prochaine fois, ce diplôme tu le mérites, tu as bossé dur pour l'avoir et tu l'auras
consternée.... et super dégoutée...
dézzolée....
Ils se croient tous si supérieurs ces petits cons...
Je serai bien curieuse de savoir ce qu'a dit le mec qui vous a dit que vous seriez jugés sur vos travaux un à un ???
En fait, le jury a choisi de juger le travail total et non pas nos efforts personnels. Donc même si j'aurai fait le meilleur travail de la terre, ca n'aurait pas suffit. On m'a fait payé pour les autres qui se sont absentés ou ont fait un travail ridicule. Et c'est ce qui me dégoute.
@sam : avec le recul, je ne peux faire autrement puisque je dois être présent pour "l'équipe"
@flava : si t'avais vu sa tête le jour de la soutenance. Et c'est bien payé pour sa gueule puisqu'il sera ridicule le jour de la remise des diplomes ...
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